Décidément, dorénavant contrôlé par un parti unique né d'un mouvement rebelle, le Burundi va droit au mur avec plus d'assassinats, d'exécutions extrajudiciaires, d'expropriation légalisée, de décisions arbitraires, etc.Sur le terrain de la gouvernance, le Burundi reste encore la risée du monde libre qui assistera, médusé, au CNDD-FDD qui « battra le tambour pour danser dans le même temps ».