Là où le bât blesse, c'est que le groupe Whatsapp sous l'œil du SNR a été administré par le général André Ndayambaje, secrétaire permanent au ministère de l'intérieur, lui-même originaire de la même contrée.Voilà qui prouve encore à suffisance l'impasse dans laquelle se trouve la liberté d'expression au Burundi ainsi que l'étonnante montée de la surveillance numérique dans le pays.